
Cameroun : ” Homme qui m’ offrait le Ciel “
Dans un post abondamment relayé, Calixthe Beyala encense les candidatures de Akere Muna et Maurice Kamto. Choix de raison ou vengeance ?
Après avoir mené une opération de dénigrement systématique contre le Ministre Directeur du Cabinet Civil de la Présidence Samuel Mvondo Ayolo pour des raisons qui échappent à la raison, C’est le moment de se jeter dans la bataille des Présidentielles en mettant en lumière deux candidats à la candidature pour la Présidentielle de 2025. Akere Muna et Maurice Kamto sont les personnes qui pour la romancière française les plus crédibles pour briguer un mandat de Chef d’Etat au Cameroun. Ses motivations sont liées à leur expertise avérée sur le plan juridique.
Pour ce qui est de Me Akere Muna, ancien bâtonnier, il a été candidat malheureux à la présidentielle de 2018 . Il a été classé dernier sur les 08 concurrents en lice . Avec 1.5% des suffrages valablement exprimés . Il a été aperçu le premier jour de l’ Ouverture du Grand Dialogue National puis avait claqué la porte. Ses positions sur la crise anglophone n’ont jamais été de condamner fermement les exactions terroristes mais d’exiger du gouvernement de négocier avec les terroristes. Sur le plan politique durant le septennat, aucune manifestation. Pour ce qui est de Maurice Kamto, Président élu autoproclamé, il a berné ses propres partisans durant ce septennat avec cette fronde inutile et injustifiée. Très proche du groupe de vulgaires vandals de la BAS mis en place au lendemain de ses propos stigmatisant à l’encontre des Bulus , le MRC n’ a jamais condamné les exactions de la BAS et des terroristes Ambas. Pour le directoire du MRC c’ est l’armée Camerounaise qui était un problème. Il fallait que le gouvernement camerounais aille négocier avec les terroristes. Il rejoignait son soutien Akere Muna . Il a entraîné son parti politique au boycott de toutes les élections locales estimant que le code électoral était mauvais et que la crise anglophone n’ était pas fini. Ces derniers temps il est à la recherche d’un parti éligible parmis les 18 pouvant porter sa candidature. À défaut , manipuler l’opinion avec la fadaise de mandat impératif.
Voilà les candidats de la française Calixthe Beyala. Cela est compréhensible. Elle est française . Et ces deux peuvent mieux faire les affaires de la France. D’ailleurs Maurice Kamto a souvent fait des giga meetings de ce côté avec une bonne mobilisation. Eh oui , ils sont plus préoccupés à convaincre l’étranger que le peuple Camerounais. Tout comme Calixthe Beyala, Coordinatrice du Pôle des Arts littéraires au Minac mais qui a un bilan nul . Aucune activité organisée . Aucune association littéraire à son actif . Mais elle peut mettre plein la vue aux Camerounais ses tires obtenus à partir de l’hexagone telle le ” vieux nègre et la médaille. En tous cas c’est de bonne guerre et le moment est propice . Si ” L’ Homme qui lui ” offrait le Ciel ” pour reprendre un titre bien connu par la Romancière Française , ne fait pas comme elle veut . Une sagesse Bassa qui de dire “quand on se noit , on peut s’accrocher à la queue d’un serpent.”
Ceci étant , les priorités du Cameroun et des camerounais sont ailleurs. Le temps de la mère patrie est révolu. Et donc , le moment venu, les camerounais dans leur immense majorité voteront celui par qui le changement est arrivé au Cameroun. Celui qui a fait du Cameroun maître de son destin et qui ne saurait être la chasse gardée d’une quelconque puissance. Il l’ a démontré avec la résolution du conflit frontalier de Bakassi , de la crise dite anglophone qui connait aujourd’hui une issue progressivement apaisée avec des arrestations en cascade des financiers dans le monde entier. La gestion de la COVID 19 entre autre. Le Cameroun est stable et se hisse fièrement au cœur du golfe d Guinée. Son developpement est harmonieux et en marche . Le peuple est Confiant en son avenir. Rien ni personne ne peut donc dévier la trajectoire du Cameroun Gouverné de main de maître par Paul Biya, le grand Dôme d’ Afrique.
Le temps de la Campagne arrive . Que les amuseurs publics chauffent donc la salle pour le moment !
Simon Metsengue