
Cameroun : PAUL BIYA, L’HOMME DE LA SITUATION
Non à la rumeur.
Oui à l’information vérifiée et vérifiable.
1– Insinuations fallacieuses
Comme vous, j’ai entendu et lu les insinuations fallacieuses sur telle personne, tel groupe, tel duo, tel trio et tel quatuor qui seraient désormais aux commandes de l’État. C’est faux et archi-faux.
J’ai décidé de prendre la plume aujourd’hui (et je le ferai très régulièrement en étant de plus en plus incisif, advienne que les circonstances l’imposent) pour rappeler aux Camerounaises, aux Camerounais et à l’opinion internationale, une vérité scientifique et simple : élu, avec une majorité confortable, au suffrage universel direct, M. Paul BIYA est bel et bien le Président de la République du Cameroun. Je le réitère, afin que nul n’en ignore, comme nous l’apprennent les juristes : il est le seul chef de l’exécutif. Il n’y a ni bicéphalisme, ni polycéphalisme, ni acéphalisme.
2– Expérience inégalée
Personne (je dis, bien personne) ne dirige le Cameroun à sa place. Il est le seul maître à bord.
De par sa formation, son expérience politique inégalée et son sens très élevé de l’État, il sait ce qu’il fait et où il va. Nul ne peut lui dicter ce qu’il doit faire.
Humaniste, il écoute beaucoup. Il consulte et peut faire consulter n’importe quelle strate institutionnelle, professionnelle ou socio-linguistique, par un haut responsable de son choix, qui lui rend compte en bonne et due forme.
Il est donc, parfaitement, en phase avec son peuple. Mais, il exècre la gesticulation, la précipitation, l’ostentation et la théâtralité.
Il parle quand, où et comme il faut : « le style, c’est l’homme » (Buffon).
Je le sais avec certitude pour avoir passé 14 ans à ses côtés, au Cabinet Civil.
3- Le Cameroun fonctionne normalement
Le Cameroun fonctionne normalement, dans chaque secteur.
Chacun est à sa place. Le président préside, aidé de ses collaborateurs. La structure pyramidale de l’État est respectée. La gestion est participative. Les informations de la base remontent jusqu’au sommet, de manière exhaustive.
Que ceux qui distillent des rumeurs erronées, au lieu d’informations vérifiées et vérifiables, se ravisent : l’État n’est pas gouverné par les rumeurs ou les fantasmes.
- Paul BIYA est le candidat statutaire et légitime du RDPC, soutenu par des partis légalistes.
Il continue l’œuvre salutaire qu’il a entamée le 6 novembre 1982 à la tête de l’État avec le concours de toutes et tous.
4- Le mensonge n’est pas un argument de campagne
L’opposition a toute sa place dans la démocratie. Elle exerce ses activités à travers plus de 300 partis politiques légalement reconnus.
Ils doivent respecter les principes de la démocratie, la souveraineté et l’unité nationale. Ils ont le droit d’exercer leurs activités, conformément à la loi.
Affirmer péremptoirement que le Président Paul BIYA ne gouverne plus est un gros mensonge. Le mensonge n’est pas un argument de campagne.
Les citoyens attendent des actes, des réalisations et une vision pour l’avenir. Le Président Paul BIYA valide ces trois prérequis politiques et stratégiques.
Il est l’homme de la situation.
Par
Jacques FAME NDONGO
Ministre d’État, Ministre de l’Enseignement Supérieur,
Membre du Bureau politique du RDPC.