
CAMEROUN: UN DIABLE RESTE UN DIABLE !
Depuis 2018, le MRC et ses militants se sont enfermés dans une logique insurrectionnelle, faite de désobéissance, de manipulation et de violence politique.
Une stratégie de terreur et de chaos assumée sans complexe qui s’est installée : appels à la rue, campagnes de désinformation, menaces, et diffusions de discours incendiaires sur les réseaux sociaux.
À leurs côtés, gravitent des pseudo-activistes, lanceurs d’alertes à gages et mendiants des « likes ». Pourtant aucun d’eux ne peut se prévaloir d’une vie professionnelle stable ni d’un engagement social constructif.
Leur unique métier : salir, provoquer, détruire contre espèces sonnantes et trébuchantes.
La dérive n’épargne pas certains médias. Une chaîne de télévision locale, qui s’auto-proclame “la chaîne du peuple”, s’est muée en caisse de résonance du désordre, diffusant à longueur de journée des messages de haine, des injures contre les institutions, et des appels à la révolte. .
Sous couvert de liberté d’expression, c’est en réalité une entreprise d’empoisonnement collectif qui s’opère.
Une « radio mille collines » à la sauce camerounaise
Aujourd’hui, les mêmes acteurs reviennent à la charge, utilisant l’élection du 12 octobre 2025 comme prétexte, et Issa Tchiroma Bakary comme cheval de Troie. Le scénario est connu le narratif également, la manœuvre cousue de fil blanc : défier l’État, provoquer le désordre, espérer la réaction, y compris de la communauté internationale. Mais la République veille et la justice a bonne mémoire.
Qu’ils se le tiennent pour dit : le temps de la reddition des comptes viendra. Car un diable reste un diable, même s’il s’habille en PRADA.
Jeanine Mongo




