Loi sur l’Avortement : La cour suprême américaine sur les pas du Cameroun
La cour Suprême des Usa a enterré ce vendredi 24 Juin le droit à l’avortement rejoignant les pays comme le Cameroun qui le pénalisent. Si le monde occidental crie au scandale qualifiant cela de recul historique des droits fondamentaux des femmes, On peut se demander si supprimer le développement de la vie de l’humanité n’est pas un délit ?
La cour Suprême des USA a remis en question le droit à l’avortement pour les américaines, fondé sur l’arrêt ROE contre Wade de 1973 ce vendredi 24 Juin. Ce qui laisse donc libre cour aux Etats fédérés d’interdire ou non l’interruption volontaire de grossesse. Plusieurs Etats Fédérés américains se sont aussitôt prononcés contre l’avortement et l’ont l’interdit. On peut citer l’Etat du MISSURI ou encore celui de l’Oklahoma. Même sans questionner les motivations, on peut aisément comprendre le risque que coure ce pays continent avec une population vieillissante donc le taux de fécondité est de 1 ,64 %. Si on donne la latitude aux femmes d’avorter au gré de leur humeur amoindrissant ainsi la capacité de ce pays à se pérenniser, il y a de fortes chances qu’après quelques siècles qu’on se retrouve avec un pays fait seulement de vieillards et donc sans population active. Les Juges de la Cour Suprême l’ont bien compris et n’ont pas un seul instant hésité à abroger cette loi humanicide.
Les pleurs de l’antichrist
Cette actualité sur l’avortement renseigne à suffisance sur les intentions de certains dirigeants du monde. Certains gouvernés par un esprit dangereux et nocif pour l’humanité. Ils sont des promoteurs de la dépravation et du culte de la bête. Comment des humains peuvent t’ils comploter contre la vie ? Pour l’ancien président américain Barack Obama, afro descendant la décision de la cours Suprême Américaine est une agression des libertés fondamentales des millions d’Américaines. Comme si ces américaines existeraient si leurs géniteurs avaient interrompu leur grossesse. Il n’est pas seul, le président Français ne va pas de mains mortes pour déplorer la « remise en cause » des libertés des femmes. Le premier ministre anglais ou encore celui du canada ne sont pas en reste. Tous fustigent les agissements de la cour suprême américaine. L’on voit clairement ceux qui complotent contre la vie et contre l’humanité. Supprimer l’existence d’un enfant fut-il au stade fœtal ne saurait s’ériger en un droit mais en un délit. De même comme promouvoir des relations contrenatures entre deux humains de même genre ne sauraient être un choix mais une abomination. Mais c’est encore les mêmes qui en sont les promoteurs. A dire que certains peuples du monde ont décidé de se faire diriger par l’antéchrist.
Heureusement l’Afrique Protectrice de l’humanité est là
Si certains dirigeants du monde disciples de l’Antichrist ont décidé de décimer le monde par des lois humanicides d’autres sont là pour les en empêcher. C’est le cas des juges de la cour suprême des Usa qui ont pensé à l’humanité et ont mis les femmes devant leurs responsabilités naturelles. A ceux-ci s’ajoutent le 45ème président Américain Donald Trump qui a salué cette décision en parlant d’une volonté divine. Donald Trump, est ce président américain qui durant son mandat a défié l’antichrist en interdisant l’homosexualité qu’il qualifiait de pratique diabolique ou encore d’avortement qu’il jugeait contre l’humanité. C’est donc un africain à la peau blanche totalement le contraire de son prédécesseur qui ne mériterait même plus qu’il soit assimilé au Continent Noir. Les juges de la Cour Suprême ne sont pas seuls, leur démarche s’assimile à celle d’un pays d’Afrique Centrale, le Cameroun. Pays dont les habitants sont fiers d’en être des citoyens et dont la promotion de l’humanité est une obligation. Le Cameroun, malgré les pressions internationales a toujours pénalisé l’avortement. L’Article 337 du code pénal camerounais condamne de 15 jours à 1 an d’emprisonnement ferme toute femme coupable d’interruption volontaire de grossesse. Cette loi au Cameroun est inattaquable de même comme celle contre les pratiques homosexuelles. C’est donc dire qu’il n’a aucun recul dans la démarche de la Cour Suprême américaine mais un retour à la célébration et à la protection de la vie ou à la pérennisation des USA en tant que Nation.
Bertin Metsengue