Présidentielle 2025 : MRC , le Requiem !
Le MRC venait de perdre son candidat ” naturel” qui a rejoint le MANIDEM sans prévenir. Que devient la renaissance Tant promise ?
C’est la descente aux enfers prévisible du MRC . En effet , le Pr Maurice Kamto vient de donner aux Militants et sympathisants du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun – MRC. Il va competir sous le label du MANIDEM sous réserve de la validation de sa candidature qui fait débat au vu des délais de sa supposée démission à la tête du MRC. Crée en juin 2012 , le MRC a participé à sa première élection locale en 2013 et a obtenu un député. Ce qui lui permettait d’avoir une candidature à la présidentielle de 2018. Élection à laquelle son candidat Maurice Kamto est sorti 2ème avec 14% des suffrages valablement exprimés. Le Parti était donc en pleine expansion quand, contre tout attente aux municipales et législatives de 2020, alors qu’on attendait que les 14% obtenu à la présidentielle se transforment en élus locaux , Que Maurice Kamto Président du Directoire impose à sa base le 7 Février 2020 le forfait. Plusieurs caciques du parti vont claquer la porte. Célestin Djamen, Michèle Ndocki , Medart Lipot et autres Okala ebode. Seule une clic d’ affidés et sa milice cybernétique et Ethnofasciste vont continuer à porter la flamme de son plan de destruction de l’ État de droit et de démocratie du Cameroun.
Durant ce cycle électoral, ils auront brillé par le dénigrement systématique et la diabolisation des institutions et de l’ image. Avec plusieurs actions eclats en la matière à leur compteur : mise à sac et saccage des ambassades du Cameroun en Europe ; survie -Cameroon. Plus de 200 millions escroqués aux pauvres Camerounais dans ce qu’ils ont appelé ” bug informatique” . Le Bashing anti CAN Cameroun 2021. Agression physique des musiciens et institutionnels non Bamileke en occident principalement en France, en Suisse et en Allemagne. Plusieurs tentatives d’appels à l’insurrection. En Janvier 2019 . Maurice Kamto et plusieurs de ses affidés auront fait un peu plus de 9 en détention. Une autre tentative a été fait quelques mois plus tard . Cette fois la justice sera sans pitié pour certains de ces suiveurs qui ont écopés selon la loi de 7 ans de prison chacun au plus .
Dès mi-temps Juin 2024 , debut de la phase 2
Le plan visant une implosion sociale a été remis en marche. Cette démarche visait à discréditer le processus électoral et offrir à la meute une raison de descendre dans la rue afin d’enclencher le processus prévu depuis des lustres par une certaine ” communauté internationale” qui n’ arrive plus à piller les ressources des Camerounais. Pour y arriver plusieurs tentatives ont été faites :
– mise à sac des ambassades du Cameroun en Occident
– le gré à gré
– nécessité fait loi
– mandat Impératif
– absence de corps électoral
Entre autres la dernière épisode de ce plan makiavelique est bel et bien l’investiture de Maurice Kamto au Manidem qui selon toute vraisemblance est une grosse entorse aux lois de décembre 90 régissant le fonctionnement des associations politiques.
Le peuple Camerounais, serein
Le peuple Camerounais souverain et maître de son destin est imperturbable. Il compte rester maître de son destin. Et comme l’ a souligné le Vice Premier Ministre Secrétaire Général du Comité Central RDPC Jean Nkueté lors du dépôt de candidature du Président Paul Biya *” le peuple Camerounais est suffisamment mur pour connaître la différence entre ce qui est fait, ce qui est en train d’être fait et ce qui est proposé pour être fait”.* Et donc ceux qui pensent mettre sur pied des stratagèmes pour imploser le jardin cultivé par les ancêtres et la tombe où dorment les pères du Cameroun. Doivent savoir qu’ils courent à leur seuls perte. Car pour lui c’est le temps des élections. Les institutions en charge de l’organisation des élections seront les seuls arbitres du jeu. Seuls les candidats conformes aux aux lois ( Code électoral et lois de décembre 90) et la constitution seront ceux habillés à proposer au peuple Camerounais les offres et programmes de sociétés susceptible d’être plébiscité. Pour l’heure une quinzaine de candidatures à la candidature sont déjà sur la table d’ Elecam. Plus que quelques jours et le contentieux pré-électorale électoral va s’ouvrir au conseil constitutionnel pour les candidatures rejetées. Après quoi , place à la campagne électorale.
Simon Metsengue
